Hier aprem et aujourd'hui deux randonnées dans les blue mountains : magnifique, crevant, un truc de fou!
Ce soir nous sommes à Wollongong dans le sud de Sydney et on va essayer de trouver un coin ou planter la tente après avoir pris une douche sur la plage...
J'écrirais mieux et plus loin + photos le prochain coup
See ya
mercredi 27 janvier 2010
lundi 25 janvier 2010
Derniers jours à Sydney
G'day
Dernier week-end à Sydney, avec en prime un bel orage samedi. Mais çà ne nous a pas empêchés de faire un barbecue samedi soir avec tout un groupe de frenchies sur le toit de l'immeuble. Effectivement, celui ci est aménagé en terasse avec tables, chaises et BBQ. Sympa, mais il vaut mieux commencer de bonne heure car ils ferment l'accès à partir de 23h. On a goûté le rhum made in Australie... no comment, même avec du coca.
Au programme des jours qui viennent :
Mardi matin : départ de Sydney, direction les Blue Mountains à environ 2h de route dans l'ouest de Sydney. On devrait passer deux jours là bas car il y a deux grandes randonnées à faire qui paraît-il sont magnifiques.
Ensuite on revient vers la côte en passant par Sydney, pas le choix c'est sur la route, et direction le sud en longeant la côte. Le but est de faire environ 200kms par jour et profiter du paysage, de la plage, etc...
Ce qui devrait nous faire arriver à Melbourne début Février. Ensuite, je vais probablement passer deux ou trois jours à Melbourne et puis si tout va bien je prends l'avion direction Hobart en Tasmanie. Je viens de rentrer en contact avec une famille qui habite près d'Hobart et qui pourrait m'accueillir pour plusieurs semaines. Ca reste à confirmer mais je vous en dirais plus si çà se fait.
Sur ce, je vais me coucher car la nuit dernière fut un peut courte!
Tchao
Dernier week-end à Sydney, avec en prime un bel orage samedi. Mais çà ne nous a pas empêchés de faire un barbecue samedi soir avec tout un groupe de frenchies sur le toit de l'immeuble. Effectivement, celui ci est aménagé en terasse avec tables, chaises et BBQ. Sympa, mais il vaut mieux commencer de bonne heure car ils ferment l'accès à partir de 23h. On a goûté le rhum made in Australie... no comment, même avec du coca.
Au programme des jours qui viennent :
Mardi matin : départ de Sydney, direction les Blue Mountains à environ 2h de route dans l'ouest de Sydney. On devrait passer deux jours là bas car il y a deux grandes randonnées à faire qui paraît-il sont magnifiques.
Ensuite on revient vers la côte en passant par Sydney, pas le choix c'est sur la route, et direction le sud en longeant la côte. Le but est de faire environ 200kms par jour et profiter du paysage, de la plage, etc...
Ce qui devrait nous faire arriver à Melbourne début Février. Ensuite, je vais probablement passer deux ou trois jours à Melbourne et puis si tout va bien je prends l'avion direction Hobart en Tasmanie. Je viens de rentrer en contact avec une famille qui habite près d'Hobart et qui pourrait m'accueillir pour plusieurs semaines. Ca reste à confirmer mais je vous en dirais plus si çà se fait.
Sur ce, je vais me coucher car la nuit dernière fut un peut courte!
Tchao
vendredi 22 janvier 2010
Sailing Sydney
Au programme de la soirée : régate pâté saucisson en baie de Sydney. Enfin je devrais plutôt dire régate bière, fish and chips. Je crois que malgré toute la bonne volonté que j’y mets je n’aime définitivement pas la bière. Mais pourquoi ? Ce serait tellement plus pratique !
Donc petite navigation sur un « Sydney 36 ». Régate sans spi (c’est dans les règles de course) et un grand bord de vent arrière avec le génois tangonné (ceux qui naviguent comprendront). Very funny !
Il faut que je me trouve un lexique français-anglais des termes marins techniques parce que ce n’était pas évident de se comprendre, mais bon, on s’en est quand même bien tirés. Bonne ambiance et bon accueil. Un bon fish and chips pour le dîner au yacht club et encore de la bière…beurk.
La baie de Sydney est un très joli plan d’eau, pas évident à naviguer, mais très joli quand même. Surtout avec un beau coucher de soleil.
Demain on doit faire quelques courses pour équiper le van pour le road trip.
That’s all for today
Un petit extrait de mon livre quand même :
"Inutile de courir après le bonheur car il n’est qu’une conséquence, un effet imprévu. Le poursuivre en tant que tel n’aura jamais aucun sens. Le bonheur vient sans invitation, et dès l’instant où vous avez conscience d’être heureux, vous cessez de l’être".
Donc petite navigation sur un « Sydney 36 ». Régate sans spi (c’est dans les règles de course) et un grand bord de vent arrière avec le génois tangonné (ceux qui naviguent comprendront). Very funny !
Il faut que je me trouve un lexique français-anglais des termes marins techniques parce que ce n’était pas évident de se comprendre, mais bon, on s’en est quand même bien tirés. Bonne ambiance et bon accueil. Un bon fish and chips pour le dîner au yacht club et encore de la bière…beurk.
La baie de Sydney est un très joli plan d’eau, pas évident à naviguer, mais très joli quand même. Surtout avec un beau coucher de soleil.
Demain on doit faire quelques courses pour équiper le van pour le road trip.
That’s all for today
Un petit extrait de mon livre quand même :
"Inutile de courir après le bonheur car il n’est qu’une conséquence, un effet imprévu. Le poursuivre en tant que tel n’aura jamais aucun sens. Le bonheur vient sans invitation, et dès l’instant où vous avez conscience d’être heureux, vous cessez de l’être".
mardi 19 janvier 2010
Quel luxe!
Quel luxe de prendre son temps... Quel luxe de ne pas avoir à regarder l'heure. Et surtout quel luxe de prendre le temps de regarder le soleil se coucher en observant toutes les variations d'ombres et de lumières...
Petit aperçu du point de vue que j'avais, désolé pour la qualité d'image, je n'avais pas le bon appareil.
Petit aperçu du point de vue que j'avais, désolé pour la qualité d'image, je n'avais pas le bon appareil.
Vacances studieuses
Je lis beaucoup, j’écris aussi pas mal (une bonne partie est sur le blog) et je prends le temps de vivre, tout simplement… Un brin de musique pour accompagner la contemplation de ce nouvel environnement. Bref, profiter de chaque instant…
Elle est pas belle la vie ?
Cheers !
Elle est pas belle la vie ?
Cheers !
Pas trop de succès mon idée !
Bon eh bien je vois que mon idée d’interroger les lecteurs pour enrichir mon blog n’a pas l’air de faire des émules… En même temps je vous pardonne, je reconnais que ce n’est pas facile d’écrire même si l’outil internet aide bien à délier les langues (enfin les doigts en l’occurrence) ! J’ai quand même reçu trois réponses que je vous fais partager et que je commente.
Réponse de Papa
Je comprends ton questionnement existentialiste. Je ne te rassurerai pas en te disant que c'est tout à fait normal et que tout le monde y passe, plus ou moins tôt et pendant plus ou moins longtemps. Tu n'as pas pour l'instant trouvé, en même temps, tous les ingrédients qui permettent d'équilibrer sa vie. Tu les as eus en partie, pas tous, pas en même temps... Il faut garder une lucidité suffisante pour les voir quand ils se mettent en place. Maintenant, vivre, c'est faire des choix, et à partir du moment où on choisit, çà veut dire qu'on laisse des choses de côté. Je te renvoie au proverbe chinois que je te citai précédemment et tu remplaces la notion de voyage par celle de vie.
TOM : Que sont les ingrédients qui permettent d’équilibrer sa vie et surtout qu’est ce qu’une vie équilibrée ? On entend les gens dire : « untel à réussi sa vie ». Mais qu’est ce que cela veut dire ? J’imagine que si l’on s’en réfère aux critères de notre société, pour ces gens là, réussir sa vie, c’est avoir un « bon métier », une bonne situation financière, une belle maison, une belle voiture, une gentille femme, des enfants et beaucoup d’amis… Mais alors comment se fait-il que les cabinets des Psy soient remplis de personnes ayant toutes ces choses dans leur vie ? Visiblement tout çà ne suffit pas.
Mais bon, même si ce sujet est très intéressant et mérite d’être développé on s’éloigne quand même un peut de la question que j’ai posée à la base et qui, je pense, est plus liée à un phénomène engendré par l’évolution de notre société, car je ne suis pas sûr qu’il y a quelques dizaines d’années les jeunes de nos âges se posaient autant ce genre de question.
Réponse d’Anne-So
Tout simplement car on n'est jamais content de ce que l'on a... on cherche mieux, on est déçu, et on se tourne vers l'étranger pour voir si on trouve son bonheur ailleurs... Je te souhaite de le trouver, ou tout au moins de trouver les réponses à tes questions... Aujourd'hui on veut gagner beaucoup, tout de suite, on veut travailler peu, profiter de son temps libre, ce qui est assez délicat! (si quelqu'un à une planque je suis tout de même intéressée !). Alors, désespérés, on fuit, sans trop savoir quoi chercher! Et puis, en même temps c'est une expérience dont vous sortirez fort et plein de souvenirs! Allé, je t'embrasse, à bientôt! Et profites en pour ceux qui, comme moi, ce font chier mais n'osent pas faire le pas...
TOM : Bon élément de réponse, il y a une idée à creuser, j’en prends note ! Effectivement, si je le reformule différemment, cela serait en partie lié à la société de consommation qui nous pousse à vouloir toujours plus, qui privilégie les loisirs sans promouvoir suffisamment le travail. D’ailleurs il n’y a qu’à voir le nombre de personnes qui arrivent au boulot le matin en pensant déjà à la débauche ou au week-end ou aux vacances. D’ailleurs je me suis toujours battu au boulot contre la traditionnelle et ô combien déprimante formule : « Bonjour comment çà va ? Bah comme un Lundi » !!! Pour compléter je te renvoie à l’extrait de livre que je cite dans l’article précédent car il rejoint bien cette idée.
Réponse de Maman
Je viens de prendre connaissance de ton commentaire; difficile de répondre.
Peut être que ce n’est pas la question à se poser pour le moment.
Peut être que c'est un travail à faire sur soi même et qu'il faut donner le temps au temps.
L’éloignement, la solitude, l'observation des autres, peuvent, petit à petit, aider à discerner les choses essentielles, sachant que l'on peut après s’arranger avec les détails.
"Le temps est un grand maitre, il règle bien les choses"
prends soin de toi, ne te perds pas
TOM : « Hors sujet 6/20 !! Tu ne réponds pas à la question posée » Ca me rappelle mes copies de dissert de philo !!! Je rigole.
Ce qui est sûr c’est qu’effectivement l’observation des autres et du monde en général est très instructive et très enrichissante. C’est une source presque inépuisable.
Même remarque cependant que pour la première réponse, on n’est pas tout à fait dans le sujet. Ce qui m’intéresse dans la question c’est l’analyse du phénomène à l’échelle d’une population. Pas juste au niveau de la personne.
En tous cas voilà quand même de quoi alimenter ma réflexion donc merci. De nouvelles idées me viennent donc je rendrais ma copie plus tard…
Réponse de Papa
Je comprends ton questionnement existentialiste. Je ne te rassurerai pas en te disant que c'est tout à fait normal et que tout le monde y passe, plus ou moins tôt et pendant plus ou moins longtemps. Tu n'as pas pour l'instant trouvé, en même temps, tous les ingrédients qui permettent d'équilibrer sa vie. Tu les as eus en partie, pas tous, pas en même temps... Il faut garder une lucidité suffisante pour les voir quand ils se mettent en place. Maintenant, vivre, c'est faire des choix, et à partir du moment où on choisit, çà veut dire qu'on laisse des choses de côté. Je te renvoie au proverbe chinois que je te citai précédemment et tu remplaces la notion de voyage par celle de vie.
TOM : Que sont les ingrédients qui permettent d’équilibrer sa vie et surtout qu’est ce qu’une vie équilibrée ? On entend les gens dire : « untel à réussi sa vie ». Mais qu’est ce que cela veut dire ? J’imagine que si l’on s’en réfère aux critères de notre société, pour ces gens là, réussir sa vie, c’est avoir un « bon métier », une bonne situation financière, une belle maison, une belle voiture, une gentille femme, des enfants et beaucoup d’amis… Mais alors comment se fait-il que les cabinets des Psy soient remplis de personnes ayant toutes ces choses dans leur vie ? Visiblement tout çà ne suffit pas.
Mais bon, même si ce sujet est très intéressant et mérite d’être développé on s’éloigne quand même un peut de la question que j’ai posée à la base et qui, je pense, est plus liée à un phénomène engendré par l’évolution de notre société, car je ne suis pas sûr qu’il y a quelques dizaines d’années les jeunes de nos âges se posaient autant ce genre de question.
Réponse d’Anne-So
Tout simplement car on n'est jamais content de ce que l'on a... on cherche mieux, on est déçu, et on se tourne vers l'étranger pour voir si on trouve son bonheur ailleurs... Je te souhaite de le trouver, ou tout au moins de trouver les réponses à tes questions... Aujourd'hui on veut gagner beaucoup, tout de suite, on veut travailler peu, profiter de son temps libre, ce qui est assez délicat! (si quelqu'un à une planque je suis tout de même intéressée !). Alors, désespérés, on fuit, sans trop savoir quoi chercher! Et puis, en même temps c'est une expérience dont vous sortirez fort et plein de souvenirs! Allé, je t'embrasse, à bientôt! Et profites en pour ceux qui, comme moi, ce font chier mais n'osent pas faire le pas...
TOM : Bon élément de réponse, il y a une idée à creuser, j’en prends note ! Effectivement, si je le reformule différemment, cela serait en partie lié à la société de consommation qui nous pousse à vouloir toujours plus, qui privilégie les loisirs sans promouvoir suffisamment le travail. D’ailleurs il n’y a qu’à voir le nombre de personnes qui arrivent au boulot le matin en pensant déjà à la débauche ou au week-end ou aux vacances. D’ailleurs je me suis toujours battu au boulot contre la traditionnelle et ô combien déprimante formule : « Bonjour comment çà va ? Bah comme un Lundi » !!! Pour compléter je te renvoie à l’extrait de livre que je cite dans l’article précédent car il rejoint bien cette idée.
Réponse de Maman
Je viens de prendre connaissance de ton commentaire; difficile de répondre.
Peut être que ce n’est pas la question à se poser pour le moment.
Peut être que c'est un travail à faire sur soi même et qu'il faut donner le temps au temps.
L’éloignement, la solitude, l'observation des autres, peuvent, petit à petit, aider à discerner les choses essentielles, sachant que l'on peut après s’arranger avec les détails.
"Le temps est un grand maitre, il règle bien les choses"
prends soin de toi, ne te perds pas
TOM : « Hors sujet 6/20 !! Tu ne réponds pas à la question posée » Ca me rappelle mes copies de dissert de philo !!! Je rigole.
Ce qui est sûr c’est qu’effectivement l’observation des autres et du monde en général est très instructive et très enrichissante. C’est une source presque inépuisable.
Même remarque cependant que pour la première réponse, on n’est pas tout à fait dans le sujet. Ce qui m’intéresse dans la question c’est l’analyse du phénomène à l’échelle d’une population. Pas juste au niveau de la personne.
En tous cas voilà quand même de quoi alimenter ma réflexion donc merci. De nouvelles idées me viennent donc je rendrais ma copie plus tard…
Réponse à l’article du 14 Janvier
Je voudrais vous faire partager cet extrait du livre que je suis en train de lire et qui, je trouve, tombe à pique pour compléter mon article du 14 Janvier intitulé : « de quoi se plaint-on ? »
« Pourquoi les êtres humains ne sont-ils jamais satisfaits ? N’est-ce pas parce qu’ils sont à la recherche du bonheur et croient que le changement perpétuel va les rendre heureux ? Ils passent d’un emploi à l’autre, d’une relation à l’autre, d’une religion ou d’une idéologie à l’autre, pensant que grâce à ce mouvement perpétuel de changement ils trouveront le bonheur ; à moins qu’ils ne choisissent de stagner dans quelque arrière-cour obscure de l’existence. Assurément, le vrai contentement est d’une toute autre nature. Il ne naît en vous que lorsque vous vous voyez tel que vous êtes, sans aucun désir de changement, sans condamnation ni comparaison – ce qui ne signifie pas qu’il faille simplement admettre les faits et vous endormir ! Mais lorsque l’esprit cesse de comparer, de juger, d’évaluer, et qu’il est donc capable de voir ce qui est d’instant en instant, sans vouloir le modifier – c’est dans cette perception même qu’est l’éternel. »
Krishnamurti, Le sens du bonheur.
« Pourquoi les êtres humains ne sont-ils jamais satisfaits ? N’est-ce pas parce qu’ils sont à la recherche du bonheur et croient que le changement perpétuel va les rendre heureux ? Ils passent d’un emploi à l’autre, d’une relation à l’autre, d’une religion ou d’une idéologie à l’autre, pensant que grâce à ce mouvement perpétuel de changement ils trouveront le bonheur ; à moins qu’ils ne choisissent de stagner dans quelque arrière-cour obscure de l’existence. Assurément, le vrai contentement est d’une toute autre nature. Il ne naît en vous que lorsque vous vous voyez tel que vous êtes, sans aucun désir de changement, sans condamnation ni comparaison – ce qui ne signifie pas qu’il faille simplement admettre les faits et vous endormir ! Mais lorsque l’esprit cesse de comparer, de juger, d’évaluer, et qu’il est donc capable de voir ce qui est d’instant en instant, sans vouloir le modifier – c’est dans cette perception même qu’est l’éternel. »
Krishnamurti, Le sens du bonheur.
samedi 16 janvier 2010
Question
Afin d’alimenter et d’enrichir mes réflexions et donc mon blog je me tourne vers les lecteurs pour m’aider. J’ai quelques questions qui me trottent en tête et pour lesquelles j’ai quelques éléments de réponse mais pas suffisamment pour écrire des articles correctement argumentés. Donc, si le cœur vous en dit, à vos claviers…
Et pour commencer je souhaite évoquer le constat suivant : beaucoup de jeunes de ma génération que je rencontre, ici ou ailleurs, y compris moi-même, sont dans la même situation : personne ne sait trop quoi faire professionnellement.
Alors évidemment, cela paraît logique que je rencontre ici des gens dans cette situation car ceux qui savent quoi faire et qui ont à peut près mon âge sont déjà au travail !
Cependant j’ai vraiment l’impression que c’est une situation de plus en plus courante et malgré quelques idées, les causes me paraissent assez troubles pour l’instant.
Alors si vous avez une idée sur la question, j’attends vos commentaires…
Sinon, en ce moment, se sont les vacances ! Donc je dors, je dors et je dors. Ca fait du bien et puis faut prendre des forces avant de partir sur la route…
Hier soir j’ai regardé Ghost sur la TV australienne et franchement ils font fort : 9 coupures pub dans le film. Donc le film qui commence à 20h30 finit à 22h45. C’est super agréable d’avoir une pub pour des hamburgers au moment le plus fort en émotions du film !!! Heureusement que j’ai une bonne réserve de films sur mon ordi.
Adios amigos
Et pour commencer je souhaite évoquer le constat suivant : beaucoup de jeunes de ma génération que je rencontre, ici ou ailleurs, y compris moi-même, sont dans la même situation : personne ne sait trop quoi faire professionnellement.
Alors évidemment, cela paraît logique que je rencontre ici des gens dans cette situation car ceux qui savent quoi faire et qui ont à peut près mon âge sont déjà au travail !
Cependant j’ai vraiment l’impression que c’est une situation de plus en plus courante et malgré quelques idées, les causes me paraissent assez troubles pour l’instant.
Alors si vous avez une idée sur la question, j’attends vos commentaires…
Sinon, en ce moment, se sont les vacances ! Donc je dors, je dors et je dors. Ca fait du bien et puis faut prendre des forces avant de partir sur la route…
Hier soir j’ai regardé Ghost sur la TV australienne et franchement ils font fort : 9 coupures pub dans le film. Donc le film qui commence à 20h30 finit à 22h45. C’est super agréable d’avoir une pub pour des hamburgers au moment le plus fort en émotions du film !!! Heureusement que j’ai une bonne réserve de films sur mon ordi.
Adios amigos
vendredi 15 janvier 2010
A la demande générale… de DO !!!
Tout d’abord merci sœurette de me poser des questions afin que j’aie des idées pour alimenter mon blog. Désolé pour les fautes dans les textes, le correcteur d’orthographe et de grammaire de Word n’est vraiment pas à la hauteur !
Malgré un régime alimentaire excluant la moindre trace de saucisson ou de pâté, la santé va bien ! Heureusement ici, les tablettes de chocolat-orange sont en vente libre ! Ouf, je suis sauvé !
En ce qui concerne le moral, pas de problème pour l’instant. Je rencontre pas mal de monde, surtout des français, mais des quatre coins du pays. Si chacun a des aspirations différentes force est de constater que le dénominateur commun est l’envie de découvrir autre chose, vivre une aventure. Pour certains, ce voyage est une sorte de « pause » avant d’entrer dans la vie active, pour d’autres, un peu plus âgés, cela correspond plus à un nouveau départ. Après avoir eu une première expérience professionnelle non concluante ils veulent découvrir de nouveaux horizons, prendre le temps de vivre, de réfléchir et pourquoi pas trouver leur voie.
Je me situerais donc plutôt dans cette deuxième catégorie.
Par contre le gros point noir c’est que je crois que beaucoup sont venus avec des rêves pleins la tête dans l’espoir de trouver le bonheur ici mais face à la réalité de la vie, je crois que beaucoup sont déçus même s’ils ne veulent pas l’admettre. Encore une fois merci aux « marchands de rêve » qui vous font croire que l’Australie est un paradis sur Terre.
En ce qui me concerne, plus, ou tout du moins autant que le voyage en lui-même, c’est surtout la démarche que je trouve passionnante. C’est vrai que j’espérais peut être pouvoir trouver plus facilement un job mais je n’en suis qu’au début de mon voyage, j’ai quelques réserves et quelques plans pour tenir au moins plusieurs mois. Si vraiment je n’arrive pas à trouver de quoi remplir les caisses je serais contraint de rentrer plus tôt mais c’est une solution que j’avais envisagée donc pas de déception de ce côté-là.
Au bout de 10 jours la solitude ne se fait absolument pas sentir. De toute façon ce n’est pas quelque chose qui me dérange dans la mesure où je suis quand même plutôt solitaire à la base. Et puis je suis persuadé que c’est important d’être capable de vivre seul de manière volontaire, la douleur est ainsi moins grande en cas de solitude « forcée » ou « accidentelle ». Attention, je ne suis pas non plus insociable, je ne fuis pas la compagnie des autres, sinon je ne serais pas venu ici !!
Bon il est 3h du mat, sur ces bonnes paroles je vais me coucher…
Bonne nuit les petits !
Malgré un régime alimentaire excluant la moindre trace de saucisson ou de pâté, la santé va bien ! Heureusement ici, les tablettes de chocolat-orange sont en vente libre ! Ouf, je suis sauvé !
En ce qui concerne le moral, pas de problème pour l’instant. Je rencontre pas mal de monde, surtout des français, mais des quatre coins du pays. Si chacun a des aspirations différentes force est de constater que le dénominateur commun est l’envie de découvrir autre chose, vivre une aventure. Pour certains, ce voyage est une sorte de « pause » avant d’entrer dans la vie active, pour d’autres, un peu plus âgés, cela correspond plus à un nouveau départ. Après avoir eu une première expérience professionnelle non concluante ils veulent découvrir de nouveaux horizons, prendre le temps de vivre, de réfléchir et pourquoi pas trouver leur voie.
Je me situerais donc plutôt dans cette deuxième catégorie.
Par contre le gros point noir c’est que je crois que beaucoup sont venus avec des rêves pleins la tête dans l’espoir de trouver le bonheur ici mais face à la réalité de la vie, je crois que beaucoup sont déçus même s’ils ne veulent pas l’admettre. Encore une fois merci aux « marchands de rêve » qui vous font croire que l’Australie est un paradis sur Terre.
En ce qui me concerne, plus, ou tout du moins autant que le voyage en lui-même, c’est surtout la démarche que je trouve passionnante. C’est vrai que j’espérais peut être pouvoir trouver plus facilement un job mais je n’en suis qu’au début de mon voyage, j’ai quelques réserves et quelques plans pour tenir au moins plusieurs mois. Si vraiment je n’arrive pas à trouver de quoi remplir les caisses je serais contraint de rentrer plus tôt mais c’est une solution que j’avais envisagée donc pas de déception de ce côté-là.
Au bout de 10 jours la solitude ne se fait absolument pas sentir. De toute façon ce n’est pas quelque chose qui me dérange dans la mesure où je suis quand même plutôt solitaire à la base. Et puis je suis persuadé que c’est important d’être capable de vivre seul de manière volontaire, la douleur est ainsi moins grande en cas de solitude « forcée » ou « accidentelle ». Attention, je ne suis pas non plus insociable, je ne fuis pas la compagnie des autres, sinon je ne serais pas venu ici !!
Bon il est 3h du mat, sur ces bonnes paroles je vais me coucher…
Bonne nuit les petits !
jeudi 14 janvier 2010
Internet is not always here
Hello,
Bon ne vous inquiétez pas si les messages deviennent moins fréquents mais le réseau Wifi sur lequel on se connecte de l'appart n'est pas toujours dispo. On ne va pas se plaindre vu qu'on ne paye pas.
Pour faire bref hier j'ai récupéré ma Carte Bleue et aujourd'hui petite balade au nord de Sydney vers Spit Harbour, Dee Why et Curl, Curl beach. J'ai hâte de me mettre à l'eau car les vagues sont géniales pour surfer!
J'ai rencontré à Spit Harbour le distributeur Archambault avec qui j'ai discuté un peut pour savoir s'il y avait du boulot dans le nautisme par ici. Et comme partout :"c'est la crise!!!!" Enfin, il a pris mon numéro et doit m'appeler pour aller essayer le A31 qu'ils reçoivent bientôt. Et pour finir je me suis inscrit sur le tableau des :"Crew search a boat / Boat search a crew" et vers 17h30 un gars m'a appelé pour aller naviguer avec eux pour la régate du jeudi soir. Le seul problème c'est que j'avais aucun moyen pour rentrer à l'appart ensuite... Donc je m'organise et samedi je retourne là-bas!
Aujourd'hui on a eu un temps couvert avec un peut de pluie, çà fait du bien, çà rafraîchit un peut.
Voilà, sinon pour le reste je vis un peut au jour le jour et j'essaye de parler anglais au maximum.
J'ai hâte de partir en road trip pour laisser la folie des grandes villes et découvrir le reste du pays.
See ya...
Bon ne vous inquiétez pas si les messages deviennent moins fréquents mais le réseau Wifi sur lequel on se connecte de l'appart n'est pas toujours dispo. On ne va pas se plaindre vu qu'on ne paye pas.
Pour faire bref hier j'ai récupéré ma Carte Bleue et aujourd'hui petite balade au nord de Sydney vers Spit Harbour, Dee Why et Curl, Curl beach. J'ai hâte de me mettre à l'eau car les vagues sont géniales pour surfer!
J'ai rencontré à Spit Harbour le distributeur Archambault avec qui j'ai discuté un peut pour savoir s'il y avait du boulot dans le nautisme par ici. Et comme partout :"c'est la crise!!!!" Enfin, il a pris mon numéro et doit m'appeler pour aller essayer le A31 qu'ils reçoivent bientôt. Et pour finir je me suis inscrit sur le tableau des :"Crew search a boat / Boat search a crew" et vers 17h30 un gars m'a appelé pour aller naviguer avec eux pour la régate du jeudi soir. Le seul problème c'est que j'avais aucun moyen pour rentrer à l'appart ensuite... Donc je m'organise et samedi je retourne là-bas!
Aujourd'hui on a eu un temps couvert avec un peut de pluie, çà fait du bien, çà rafraîchit un peut.
Voilà, sinon pour le reste je vis un peut au jour le jour et j'essaye de parler anglais au maximum.
J'ai hâte de partir en road trip pour laisser la folie des grandes villes et découvrir le reste du pays.
See ya...
De quoi se plaint-on ?
Ne connaissant pas d’autres pays et d’autres cultures suffisamment je me contenterais de parler de la France.
Pourquoi la plupart des gens se plaignent-ils ? Tout est bon pour se plaindre, il y a toujours quelque chose qui ne vas pas. On se plaint la bouche pleine. Il suffit de regarder un peut comment çà fonctionne dans d’autres pays pour se rendre compte qu’en France il y a quand même beaucoup de privilèges.
Si l’on fait une rapide comparaison avec l’Australie par exemple :
- Pas de sécurité sociale et des frais de santé très chers
- Assurances auto très chères juste pour couvrir les dégâts causés aux autres
- Taxe annuelle pour pouvoir rouler
- Ecoles et universités payantes (même niveau de prix que les écoles supérieures privées en France)
Il faut aussi savoir que dans ce fameux pays où soi-disant tout est mieux que chez nous, le frenchie qui veut s’installer et monter son entreprise entreprend un vrai parcours du combattant. En effet pour obtenir un visa permanent ou bien la nationalité Australienne il faut soit montrer patte blanche et obtenir le sponsoring d’un employé mais uniquement dans certains domaines professionnels suivant les besoins du pays, soit se marier avec une australienne. Une fois le visa obtenu il faut savoir que l’on ne peut se mettre à son compte que si l’on peut prouver que l’on a déjà été patron dans son pays etc… Ou alors il faut s’associer avec un Australien. Autant dire que si l’on applique çà en France il y a beaucoup d’entreprises qui ferment (genre maçons, resto etc…) Et dire qu’en France tout le monde hurle au scandale quand on parle d’immigration choisie !!! Ici personne n’est choqué que les Australiens natifs soit privilégiés et prioritaires dans la vie quotidienne. Attention je ne porte pas ici de jugement de valeur, c’est juste une comparaison. Le système australien est certainement discutable sur le plan humain mais visiblement plus performant sur le plan économique.
Autant dire que les personnes candidates à l’immigration en Australie doivent être sacrément motivées pour bosser.
Niveau culture je n’ai pas l’impression que ce soit le top quand on compare aux grandes villes françaises. Spectacles, musées, expo ??? Apparemment il n’y en a pas beaucoup.
Le réseau de transports est beaucoup plus archaïque que chez nous. On a beau dire mais la SNCF et les réseaux de bus dans les villes sont quand même plus aboutis et mieux organisés chez nous.
Et la nourriture… Je comprends quand on dit aux australiens que l’on vient de France qu’immédiatement ils nous parlent de cuisine. La richesse culinaire de notre pays est sans commune mesure avec les fast-foods, BBQ et vegemit australiens.
Alors pour tous ceux qui se plaignent : « voyagez, en vrai ou sur internet si vous n’en avez pas les moyens et comparez… vous verrez, on n’est pas si malheureux » et surtout ne pas se fier aux clichés que l’on a sur les différents pays. Il faut bien saisir toutes les facettes de chaque pays ou culture pour se faire sa propre opinion.
Pourquoi imagine-t-on que c’est toujours mieux ailleurs ? Sans doute parce que c’est rassurant.Ca nous donne une excuse pour ne pas être « heureux » ou « satisfaits ».On se dit : « ah, si j’avais çà… si j’étais là bas… se serait sûrement mieux» Et puis çà permet peut être aussi d’avoir toujours un pseudo rêve à atteindre, cette « carotte » qui nous permet d’avancer. Mais une fois cette étape franchie, quelle sera la prochaine ? Car il est incontestable que nous sommes des êtres de désirs et qu’après avoir obtenu cette chose tant convoitée on part à la conquête d’une autre.
Mais alors cela voudrait dire que ce que l’on appelle communément « le bonheur » est inaccessible puisque finalement on se rend compte que l’on aura toujours une nouvelle envie censée être capable de nous combler pour atteindre le bonheur.
C’est à ce stade que prend toute son ampleur la phrase suivante : « il n’y a pas de chemin vers le bonheur, le bonheur c’est le chemin ». Autrement dit, le bonheur se prend au jour le jour, il faut juste savoir le voir et l’attraper au vol… et c’est là que çà se gâte ! Et pourtant, c’est sans doute çà le secret…
Pourquoi la plupart des gens se plaignent-ils ? Tout est bon pour se plaindre, il y a toujours quelque chose qui ne vas pas. On se plaint la bouche pleine. Il suffit de regarder un peut comment çà fonctionne dans d’autres pays pour se rendre compte qu’en France il y a quand même beaucoup de privilèges.
Si l’on fait une rapide comparaison avec l’Australie par exemple :
- Pas de sécurité sociale et des frais de santé très chers
- Assurances auto très chères juste pour couvrir les dégâts causés aux autres
- Taxe annuelle pour pouvoir rouler
- Ecoles et universités payantes (même niveau de prix que les écoles supérieures privées en France)
Il faut aussi savoir que dans ce fameux pays où soi-disant tout est mieux que chez nous, le frenchie qui veut s’installer et monter son entreprise entreprend un vrai parcours du combattant. En effet pour obtenir un visa permanent ou bien la nationalité Australienne il faut soit montrer patte blanche et obtenir le sponsoring d’un employé mais uniquement dans certains domaines professionnels suivant les besoins du pays, soit se marier avec une australienne. Une fois le visa obtenu il faut savoir que l’on ne peut se mettre à son compte que si l’on peut prouver que l’on a déjà été patron dans son pays etc… Ou alors il faut s’associer avec un Australien. Autant dire que si l’on applique çà en France il y a beaucoup d’entreprises qui ferment (genre maçons, resto etc…) Et dire qu’en France tout le monde hurle au scandale quand on parle d’immigration choisie !!! Ici personne n’est choqué que les Australiens natifs soit privilégiés et prioritaires dans la vie quotidienne. Attention je ne porte pas ici de jugement de valeur, c’est juste une comparaison. Le système australien est certainement discutable sur le plan humain mais visiblement plus performant sur le plan économique.
Autant dire que les personnes candidates à l’immigration en Australie doivent être sacrément motivées pour bosser.
Niveau culture je n’ai pas l’impression que ce soit le top quand on compare aux grandes villes françaises. Spectacles, musées, expo ??? Apparemment il n’y en a pas beaucoup.
Le réseau de transports est beaucoup plus archaïque que chez nous. On a beau dire mais la SNCF et les réseaux de bus dans les villes sont quand même plus aboutis et mieux organisés chez nous.
Et la nourriture… Je comprends quand on dit aux australiens que l’on vient de France qu’immédiatement ils nous parlent de cuisine. La richesse culinaire de notre pays est sans commune mesure avec les fast-foods, BBQ et vegemit australiens.
Alors pour tous ceux qui se plaignent : « voyagez, en vrai ou sur internet si vous n’en avez pas les moyens et comparez… vous verrez, on n’est pas si malheureux » et surtout ne pas se fier aux clichés que l’on a sur les différents pays. Il faut bien saisir toutes les facettes de chaque pays ou culture pour se faire sa propre opinion.
Pourquoi imagine-t-on que c’est toujours mieux ailleurs ? Sans doute parce que c’est rassurant.Ca nous donne une excuse pour ne pas être « heureux » ou « satisfaits ».On se dit : « ah, si j’avais çà… si j’étais là bas… se serait sûrement mieux» Et puis çà permet peut être aussi d’avoir toujours un pseudo rêve à atteindre, cette « carotte » qui nous permet d’avancer. Mais une fois cette étape franchie, quelle sera la prochaine ? Car il est incontestable que nous sommes des êtres de désirs et qu’après avoir obtenu cette chose tant convoitée on part à la conquête d’une autre.
Mais alors cela voudrait dire que ce que l’on appelle communément « le bonheur » est inaccessible puisque finalement on se rend compte que l’on aura toujours une nouvelle envie censée être capable de nous combler pour atteindre le bonheur.
C’est à ce stade que prend toute son ampleur la phrase suivante : « il n’y a pas de chemin vers le bonheur, le bonheur c’est le chemin ». Autrement dit, le bonheur se prend au jour le jour, il faut juste savoir le voir et l’attraper au vol… et c’est là que çà se gâte ! Et pourtant, c’est sans doute çà le secret…
mardi 12 janvier 2010
Une bonne chose de faite
Après une journée de lutte dans les différents organismes, garages, assurances etc… on a enfin réussi à faire tous les papiers pour le Van. Maintenant c’est bon, on a compris le système, et franchement çà fait pas envie…
Pour faire simple, quand tu achètes une voiture en Australie il y a plusieurs choses à savoir :
- Il y a le « pink slip » (contrôle technique) qui doit être fait tous les ans dans n’importe quel garage.
- Ensuite tu dois payer le « green slip » (c’est une assurance obligatoire comme l’assurance au tiers en France sauf que çà ne couvre que les dommages causés aux personnes)
-Avec çà tu peux aller au « RTA » (sous préfecture) pour payer la « REGO » (l’équivalent de l’ancienne vignette en France et que tu dois renouveler tous les ans)
- Et bien sûr tu paye aussi pour faire le changement de propriétaire du véhicule. Le prix est calculé sur la base de 5% de la valeur d’achat, donc plus tu achètes une voiture chère et plus tu payes cher ton changement de propriétaire.
Voilà les démarches qui nous ont pris la journée. Donc globalement tu payes 1250$ juste pour avoir le droit de rouler pendant 1 an avec ton véhicule et tu n’as pas intérêt à cartonner une autre voiture parce que c’est toi qui paye toutes les réparations. Vu le prix de l’assurance au tiers je n’imagine pas le prix du « tous risques ». Sachant en plus que même en formule « tous risques » çà ne couvre pas ton véhicule. C’est uniquement pour les dommages causés aux autres !!!
Moi qui avait pensé un moment acheter une voiture je crois que je vais plutôt m’arranger autrement !!! Il faut vraiment des moyens ici pour se payer une voiture !
Voilà pour aujourd’hui, donc je continue de bosser mon anglais mais suivant les interlocuteurs ce n’est pas toujours évident, tout dépend de l’accent et de la vitesse à laquelle ils parlent.
Demain je dois récupérer ma Carte Visa et mes quelques $ de salaire de carwasher.
Pour répondre à la question de Do avant-hier le « Woofing » est un réseau dont le principe est le suivant : les personnes, en général des fermiers ou autres proposent, en échange de quelques heures de travail par jour, de t’héberger et de te nourrir pour une période plus ou moins longue. En gros tu file un coup de mains au différentes tâches de la maison (nourrir les bêtes, couper du bois, construire une maison etc…) et en échange tu es logé et nourrit. Ca me tente bien de faire çà car çà me permet de passer du temps en Australie et donc continuer d’apprendre la langue, les coutumes, le style de vie, découvrir le pays sans dépenser d’argent. J’ai repéré à 200kms dans l’est de Merlbourne sur la côte un gars qui construit une maison écologique et donc qui a besoin d’un coup de main. Quand j’en saurais plus sur mon programme j’entrerais en contact avec lui pour passer peut être un mois ou plus par là bas.
Au fait merci à tous pour vos petits messages sur le blog ou par mail, çà fait super plaisir…
See ya !
Quelques photos de Sydney...
Pour faire simple, quand tu achètes une voiture en Australie il y a plusieurs choses à savoir :
- Il y a le « pink slip » (contrôle technique) qui doit être fait tous les ans dans n’importe quel garage.
- Ensuite tu dois payer le « green slip » (c’est une assurance obligatoire comme l’assurance au tiers en France sauf que çà ne couvre que les dommages causés aux personnes)
-Avec çà tu peux aller au « RTA » (sous préfecture) pour payer la « REGO » (l’équivalent de l’ancienne vignette en France et que tu dois renouveler tous les ans)
- Et bien sûr tu paye aussi pour faire le changement de propriétaire du véhicule. Le prix est calculé sur la base de 5% de la valeur d’achat, donc plus tu achètes une voiture chère et plus tu payes cher ton changement de propriétaire.
Voilà les démarches qui nous ont pris la journée. Donc globalement tu payes 1250$ juste pour avoir le droit de rouler pendant 1 an avec ton véhicule et tu n’as pas intérêt à cartonner une autre voiture parce que c’est toi qui paye toutes les réparations. Vu le prix de l’assurance au tiers je n’imagine pas le prix du « tous risques ». Sachant en plus que même en formule « tous risques » çà ne couvre pas ton véhicule. C’est uniquement pour les dommages causés aux autres !!!
Moi qui avait pensé un moment acheter une voiture je crois que je vais plutôt m’arranger autrement !!! Il faut vraiment des moyens ici pour se payer une voiture !
Voilà pour aujourd’hui, donc je continue de bosser mon anglais mais suivant les interlocuteurs ce n’est pas toujours évident, tout dépend de l’accent et de la vitesse à laquelle ils parlent.
Demain je dois récupérer ma Carte Visa et mes quelques $ de salaire de carwasher.
Pour répondre à la question de Do avant-hier le « Woofing » est un réseau dont le principe est le suivant : les personnes, en général des fermiers ou autres proposent, en échange de quelques heures de travail par jour, de t’héberger et de te nourrir pour une période plus ou moins longue. En gros tu file un coup de mains au différentes tâches de la maison (nourrir les bêtes, couper du bois, construire une maison etc…) et en échange tu es logé et nourrit. Ca me tente bien de faire çà car çà me permet de passer du temps en Australie et donc continuer d’apprendre la langue, les coutumes, le style de vie, découvrir le pays sans dépenser d’argent. J’ai repéré à 200kms dans l’est de Merlbourne sur la côte un gars qui construit une maison écologique et donc qui a besoin d’un coup de main. Quand j’en saurais plus sur mon programme j’entrerais en contact avec lui pour passer peut être un mois ou plus par là bas.
Au fait merci à tous pour vos petits messages sur le blog ou par mail, çà fait super plaisir…
See ya !
Quelques photos de Sydney...
lundi 11 janvier 2010
Qui qu’a du bol ??
Dimanche soir : petite virée au casino et 85$ d’encaissés sur les machines à sous à 1c$, c’est bien çà comme boulot !
Et puis aussi premier contact avec des « opossums » dans Hyde Park, trop mimi comme bête !!
Bon ce matin repos… Rien de plus à dire forcément puisque je dors !
Un peut de boulot sur l’ordi, genre recherche d’emploi, et…… bah rien, forcément on est Sydney faut pas rêver !!!
Et cet aprem exercice pratique. Mon colloc qui acheté le Van doit faire faire les papiers à son nom, le contrôle technique (là je traduit) et la régo (en gros la vignette). Et c’est là que çà se gâte !!! En effet, il faut déjà comprendre comment fonctionne le système administratif, savoir dans quel ordre faire les choses, et avoir les bons papiers. Je passe sur l’accent du garagiste et sur les termes techniques de mécanique. Bon finalement on arrive à comprendre et à se faire comprendre, et merci à la petite dame de la préfecture (là aussi je traduit !) qui connaissait quelques mots de français. Résultat des courses on n’a plus qu’à y retourner demain avec tous les papiers et si tout va bien, demain soir tout est réglé.
Ce soir, visite détaillée du super marché… hum, hum… no comment. Bon finalement ce n’est pas trop cher, surtout si tu prends des produits locaux. Pour la viande il vaut mieux prendre du kangourou ; déjà parce que c’est bon et aussi parce que c’est bon marché. Il paraît que le bœuf n’est pas top donc pour l’instant je n’ai pas tenté. Pour le pain faut oublier, pain de mie et puis c’est tout. De toute façon la baguette a le même goût que le pain de mie ! Et alors je crois que la palme revient au camembert qui n’a de camembert que le nom. En gros çà ressemble visuellement à un camembert de dînette en plastique pour les enfants et çà a un goût de Babybel !
Mais bon, on n’est pas venus là pour manger (heureusement d’ailleurs !)
Ce soir je me suis fait ma séance de piscine + sauna + spa privée (forcément à 19h ils sont déjà couchés les Australiens !).
Demain on va essayer de régler les histoires de papiers pour la voiture et ensuite petite virée à Manly Beach et à Spit qui est, j’ai l’impression, le plus grand port de plaisance de la baie.
See ya…
Et puis aussi premier contact avec des « opossums » dans Hyde Park, trop mimi comme bête !!
Bon ce matin repos… Rien de plus à dire forcément puisque je dors !
Un peut de boulot sur l’ordi, genre recherche d’emploi, et…… bah rien, forcément on est Sydney faut pas rêver !!!
Et cet aprem exercice pratique. Mon colloc qui acheté le Van doit faire faire les papiers à son nom, le contrôle technique (là je traduit) et la régo (en gros la vignette). Et c’est là que çà se gâte !!! En effet, il faut déjà comprendre comment fonctionne le système administratif, savoir dans quel ordre faire les choses, et avoir les bons papiers. Je passe sur l’accent du garagiste et sur les termes techniques de mécanique. Bon finalement on arrive à comprendre et à se faire comprendre, et merci à la petite dame de la préfecture (là aussi je traduit !) qui connaissait quelques mots de français. Résultat des courses on n’a plus qu’à y retourner demain avec tous les papiers et si tout va bien, demain soir tout est réglé.
Ce soir, visite détaillée du super marché… hum, hum… no comment. Bon finalement ce n’est pas trop cher, surtout si tu prends des produits locaux. Pour la viande il vaut mieux prendre du kangourou ; déjà parce que c’est bon et aussi parce que c’est bon marché. Il paraît que le bœuf n’est pas top donc pour l’instant je n’ai pas tenté. Pour le pain faut oublier, pain de mie et puis c’est tout. De toute façon la baguette a le même goût que le pain de mie ! Et alors je crois que la palme revient au camembert qui n’a de camembert que le nom. En gros çà ressemble visuellement à un camembert de dînette en plastique pour les enfants et çà a un goût de Babybel !
Mais bon, on n’est pas venus là pour manger (heureusement d’ailleurs !)
Ce soir je me suis fait ma séance de piscine + sauna + spa privée (forcément à 19h ils sont déjà couchés les Australiens !).
Demain on va essayer de régler les histoires de papiers pour la voiture et ensuite petite virée à Manly Beach et à Spit qui est, j’ai l’impression, le plus grand port de plaisance de la baie.
See ya…
dimanche 10 janvier 2010
Déménagement
Aujourd’hui au programme : déménagement.
J’ai quitté mon backpacker de Kent Street pour me mettre en colocation avec des français à Surry Hills. J’ai toujours pas compris comment fonctionnait le réseau de bus sur Sydney donc j’ai pris un Taxi et pour 10$ il m’a amené jusqu’à l’appart donc vive la simplicité !
Hier soir je suis sortit avec un groupe de jeunes filles au pair car il y avait un festival de musique sur Sydney. Beaucoup de monde, et la musique bof, bof… Par contre l’organisation du festival est assez impressionnante. Il y a des flics à chaque coin de rue et lorsqu’ils considèrent que certaines zones sont trop peuplées ils bloquent carrément l’accès. Pas très pratique donc pour retrouver le reste du groupe !! Et puis à minuit, tout le monde au lit !!! C’est çà qui est bizarre ici, on a l’impression d’avoir un style de vie à l’espagnole, donc souvent dehors, dans les bars, beaucoup de convivialité mais avec des horaires à l’anglaise. Donc l’apéro commence à 17h30-18h, le dîner est très vite expédié dans un fast food et à 22h tout le monde est bourré. A minuit les bars ferment et 3h pour les boîtes (sauf certains quartiers qui sont callés sur des horaires « normaux »).
Hier midi je suis allé me promener at « the rocks », « china town » et « paddy’s market ». J’y ai trouvé mon chapeau !!! Et franchement c’est pas un luxe car le soleil est vraiment super violent. En fait tu es en sueur toute la journée sauf dans les bâtiments où il y a la clim.
Je voulais aller faire un tour un « Bondi beach » et « Manly beach » mais d’après les photos que j’ai vues et ce qu’on m’en a dit çà ne casse pas trois pattes à un canard. C’est une plage, point. En plus il y a pleins de méduses et quelques requins en ce moment donc impossible de se baigner. Alors moi la plage sans la baignade… Sachant qu’en plus tu te paye minimum une heure de bus pour y aller, je vais peut être garder mes sous pour autre chose.
Alors le programme pour les jours à venir :
Je reste pour l’instant sur Sydney, je dois récupérer ma carte bleu et mes quelques $ de salaire de car washer mercredi, je vais continuer à chercher des petits boulots et je vais voir comment çà se présente avec mes coloc pour éventuellement partir en road trip fin janvier. Si çà ne se présente pas bien j’ai pensé à deux solutions :
- Acheter une voiture et bouger (je crois que c’est la meilleur la solution mais tout seul c’est un peut galère) ou
- Bouger dans une ferme pour faire du woofing (çà me tente bien, une fois là bas tu dépenses rien et çà me permettra de parler anglais un maximum)
Voilà pour les news, demain je vais essayer de vous écrire un truc un peut plus approfondi sur mes première impressions car j’ai pleins de trucs à dire mais là j’ai la flemme d’écrire, en plus il fait trop chaud donc je vais me jeter dans la piscine…
See ya…
J’ai quitté mon backpacker de Kent Street pour me mettre en colocation avec des français à Surry Hills. J’ai toujours pas compris comment fonctionnait le réseau de bus sur Sydney donc j’ai pris un Taxi et pour 10$ il m’a amené jusqu’à l’appart donc vive la simplicité !
Hier soir je suis sortit avec un groupe de jeunes filles au pair car il y avait un festival de musique sur Sydney. Beaucoup de monde, et la musique bof, bof… Par contre l’organisation du festival est assez impressionnante. Il y a des flics à chaque coin de rue et lorsqu’ils considèrent que certaines zones sont trop peuplées ils bloquent carrément l’accès. Pas très pratique donc pour retrouver le reste du groupe !! Et puis à minuit, tout le monde au lit !!! C’est çà qui est bizarre ici, on a l’impression d’avoir un style de vie à l’espagnole, donc souvent dehors, dans les bars, beaucoup de convivialité mais avec des horaires à l’anglaise. Donc l’apéro commence à 17h30-18h, le dîner est très vite expédié dans un fast food et à 22h tout le monde est bourré. A minuit les bars ferment et 3h pour les boîtes (sauf certains quartiers qui sont callés sur des horaires « normaux »).
Hier midi je suis allé me promener at « the rocks », « china town » et « paddy’s market ». J’y ai trouvé mon chapeau !!! Et franchement c’est pas un luxe car le soleil est vraiment super violent. En fait tu es en sueur toute la journée sauf dans les bâtiments où il y a la clim.
Je voulais aller faire un tour un « Bondi beach » et « Manly beach » mais d’après les photos que j’ai vues et ce qu’on m’en a dit çà ne casse pas trois pattes à un canard. C’est une plage, point. En plus il y a pleins de méduses et quelques requins en ce moment donc impossible de se baigner. Alors moi la plage sans la baignade… Sachant qu’en plus tu te paye minimum une heure de bus pour y aller, je vais peut être garder mes sous pour autre chose.
Alors le programme pour les jours à venir :
Je reste pour l’instant sur Sydney, je dois récupérer ma carte bleu et mes quelques $ de salaire de car washer mercredi, je vais continuer à chercher des petits boulots et je vais voir comment çà se présente avec mes coloc pour éventuellement partir en road trip fin janvier. Si çà ne se présente pas bien j’ai pensé à deux solutions :
- Acheter une voiture et bouger (je crois que c’est la meilleur la solution mais tout seul c’est un peut galère) ou
- Bouger dans une ferme pour faire du woofing (çà me tente bien, une fois là bas tu dépenses rien et çà me permettra de parler anglais un maximum)
Voilà pour les news, demain je vais essayer de vous écrire un truc un peut plus approfondi sur mes première impressions car j’ai pleins de trucs à dire mais là j’ai la flemme d’écrire, en plus il fait trop chaud donc je vais me jeter dans la piscine…
See ya…
vendredi 8 janvier 2010
Au revoir, au revoir, président!!!
-Go fast, go fast
- It’s difficult to go fast and make a good job
-We are here to do business, don’t worry for details
En gros, dépêche-toi, si ce n’est pas nickel ce n’est pas grave mais je t’engueulerais quand même.
Voilà pour résumer cette journée de boulot. Ah oui et aussi si tu peux rester toute la journée en stand by et quand on a besoin de toi on te le dit. Sur ce, au revoir madame ! Je suis peut être pas rapide mais au moins c'est bien fait. J'ai pas été éduqué comme çà moi!!
Comme dirais quelqu’un, y’a des patrons qui sont vraiment des fabricants de CGTistes !!!
Tiens d’ailleurs c’est une idée çà, monter une antenne de la CGT à Sydney, une chose est sûre c’est qu’il y aurait du boulot !!!
D’ailleurs, merci aux chinois pour flinguer le marché du travail. Forcément, travailler toute la journée non-stop à n’importe quel prix, çà laisse pas beaucoup de place pour les gens normaux. On n’a pas dit que la chine était communiste ? Ca veut dire partager c’est çà pour que tout le monde soit au même niveau ? Hum-hum, no comment !
Bon allez, finit la parenthèse politique, en tous cas c’est cool de pouvoir dire merde a ton patron comme çà.
Sinon j’ai trouvé un groupe de français qui sont là depuis 1 mois ou 2 et qui partent en road trip à partir du 26 Janvier normalement direction Adélaïde en longeant la côte. Ils ont un appart au sud de Sydney et çà les arrange d’avoir un coloc en plus donc c’est nickel. Donc demain je laisse le backpacker !!
Comme promis, malgré un peut de retard voici quelques photos :
- It’s difficult to go fast and make a good job
-We are here to do business, don’t worry for details
En gros, dépêche-toi, si ce n’est pas nickel ce n’est pas grave mais je t’engueulerais quand même.
Voilà pour résumer cette journée de boulot. Ah oui et aussi si tu peux rester toute la journée en stand by et quand on a besoin de toi on te le dit. Sur ce, au revoir madame ! Je suis peut être pas rapide mais au moins c'est bien fait. J'ai pas été éduqué comme çà moi!!
Comme dirais quelqu’un, y’a des patrons qui sont vraiment des fabricants de CGTistes !!!
Tiens d’ailleurs c’est une idée çà, monter une antenne de la CGT à Sydney, une chose est sûre c’est qu’il y aurait du boulot !!!
D’ailleurs, merci aux chinois pour flinguer le marché du travail. Forcément, travailler toute la journée non-stop à n’importe quel prix, çà laisse pas beaucoup de place pour les gens normaux. On n’a pas dit que la chine était communiste ? Ca veut dire partager c’est çà pour que tout le monde soit au même niveau ? Hum-hum, no comment !
Bon allez, finit la parenthèse politique, en tous cas c’est cool de pouvoir dire merde a ton patron comme çà.
Sinon j’ai trouvé un groupe de français qui sont là depuis 1 mois ou 2 et qui partent en road trip à partir du 26 Janvier normalement direction Adélaïde en longeant la côte. Ils ont un appart au sud de Sydney et çà les arrange d’avoir un coloc en plus donc c’est nickel. Donc demain je laisse le backpacker !!
Comme promis, malgré un peut de retard voici quelques photos :
Et spécialement pour JB et Maëva:
jeudi 7 janvier 2010
One day, one job!!
Coucou les gens
Après une bonne nuit de sommeil, levé 6h30 (un peut tôt quand même, quelle idée!!) et c'est reparti.
Petite balade matinale at "Darling Harbour" et puis me voilà parti à la recherche d'un peut de boulot... Eh bien c'est à dire que j'ai pas trop eu le temps de chercher, j'avais répondu à une annonce hier aprem par mail et ce matin, oh surprise, petit coup de téléphone, et rendez-vous une heure plus tard dans un centre commercial à 20 min à pied de mon backpacker!! Et me voila "Carwasher". Donc j'ai passé le reste de la journée à laver des voitures!!! 12$ de l'heure ce qui va me permettre de rester quelque temps sur Sydney pour visiter les alentours et sortir un peut tout çà sans toucher aux économies (restez au chaud mes petites votre tour viendra!!)... Ca tombe bien dis donc, pile poil ce que je voulais faire!!!
Donc option n°1: rester en backpacker avec les arsouilles qui rentrent pleins comme des boudins à 4h du mat ou...
option n°2 : trouver une coloc... Je vais essayer d'opter pour la deuxième...
That's all for today.
See you later
Après une bonne nuit de sommeil, levé 6h30 (un peut tôt quand même, quelle idée!!) et c'est reparti.
Petite balade matinale at "Darling Harbour" et puis me voilà parti à la recherche d'un peut de boulot... Eh bien c'est à dire que j'ai pas trop eu le temps de chercher, j'avais répondu à une annonce hier aprem par mail et ce matin, oh surprise, petit coup de téléphone, et rendez-vous une heure plus tard dans un centre commercial à 20 min à pied de mon backpacker!! Et me voila "Carwasher". Donc j'ai passé le reste de la journée à laver des voitures!!! 12$ de l'heure ce qui va me permettre de rester quelque temps sur Sydney pour visiter les alentours et sortir un peut tout çà sans toucher aux économies (restez au chaud mes petites votre tour viendra!!)... Ca tombe bien dis donc, pile poil ce que je voulais faire!!!
Donc option n°1: rester en backpacker avec les arsouilles qui rentrent pleins comme des boudins à 4h du mat ou...
option n°2 : trouver une coloc... Je vais essayer d'opter pour la deuxième...
That's all for today.
See you later
mercredi 6 janvier 2010
Première journée bien remplie
Tout d'abord revenons sur le trajet. Avec un peut de retard on a quand même finit par décoller de PAris sur les coups de 22h30. Première partie impeccable. Du coup on est arrivés tout juste à Pékin pour attraper la correspondance pour Sydney. Alors sur ce point les chinois ils sont carrés en organisation, y'a rien a dire (hormis le gars dans sa voiture de golf qui te dit qu'il va t'emmener jusqu'à la porte d'embarquement vu que l'avion attend et tu apprends une fois montée que tu dois le payer!!! Enfin, je lui ai filé 2€, il a fait une drole de tête, a mon avis il va les garder en collection!!). Donc tout juste le temps de voir le magnifique aéroport de Pékin et les pistes toutes enneigées. Par contre ils ont pas trop l'air de rigoler par rapport à l'hygiène et compagnie... Caméras thermiques pour voir si tu as pas de température, questionnaire médical, masques etc... Deuxième partie du trajet impeccable aussi.
Arrivée a Sydney à 8h30, formalités de douanes (super sympas d'ailleurs, le douanier m'a demandé avec un super accent si j'avais pas emporté une boîte de "paté de campagne"!!!, j'aurais dû...) et puis navette jusqu'au backpacker en plein centre de Sydney. C'est là que çà se gâte, mais pourquoi parlent-ils si vite!! Enfin, j'ai compris la moitié c'est déjà bien. L'auberge est correcte, c'est un immense immeuble avec je ne sais combien de chambres de 2, 4 ou 6 lits. Dans ma chambre j'ai 1 allemande, 1 anglais et les autres je les aient pas encore vus. Donc après la découverte des lieux, petite douche (il était temps!!) et direction l'organisme chez qui je devais récupérer la carte SIM, etc...Et là bonne nouvelle, il y a une française!! c'est un peut plus simple. Ensuite direction la banque et la re-bonne nouvelle... eh non pas une française cette fois mais elle parle doucement en articulant la petite damme alors j'ai tout compris, vaut mieux, c'est pour les sous! Voilà pour les démarches administratives. Je vais devoir rester à Sydney juqu'à mercredi prochain le temps qu'ils me fassent ma carte de crédit. Du coup j'ai pris des nuits en plus à l'auberge.
Cette après-midi, opération randonnée avec pour commencer le fameux théâtre, le pont (photos à venir) et le jardin botanique. Quelques détours à travers les rues et retour à l'auberge où je suis tombé comme une m.... (bah oui j'ai du dormir 4h à tout casser dans l'avion!) Je me suis quand même relevé pour aller manger... et écrire un peut sur le blog.
Pour les premières impression je trouve que Sydney à l'air assez agréable comme ville et les gens sont accueillants, quand tu dit bonjour ils te demandent toujours comment çà va?. En tous cas c'est un peut comme à Paris il y a un pleins de nationalités différentes (j'entends parler français partout!!!)
En tous cas l'immersion dans la langue anglaise a commencé fort et il y a du boulot!!!
On peut dire que cette première journée a été plutôt bien occupée donc maintenant direction dodo.
Cheers!
Arrivée a Sydney à 8h30, formalités de douanes (super sympas d'ailleurs, le douanier m'a demandé avec un super accent si j'avais pas emporté une boîte de "paté de campagne"!!!, j'aurais dû...) et puis navette jusqu'au backpacker en plein centre de Sydney. C'est là que çà se gâte, mais pourquoi parlent-ils si vite!! Enfin, j'ai compris la moitié c'est déjà bien. L'auberge est correcte, c'est un immense immeuble avec je ne sais combien de chambres de 2, 4 ou 6 lits. Dans ma chambre j'ai 1 allemande, 1 anglais et les autres je les aient pas encore vus. Donc après la découverte des lieux, petite douche (il était temps!!) et direction l'organisme chez qui je devais récupérer la carte SIM, etc...Et là bonne nouvelle, il y a une française!! c'est un peut plus simple. Ensuite direction la banque et la re-bonne nouvelle... eh non pas une française cette fois mais elle parle doucement en articulant la petite damme alors j'ai tout compris, vaut mieux, c'est pour les sous! Voilà pour les démarches administratives. Je vais devoir rester à Sydney juqu'à mercredi prochain le temps qu'ils me fassent ma carte de crédit. Du coup j'ai pris des nuits en plus à l'auberge.
Cette après-midi, opération randonnée avec pour commencer le fameux théâtre, le pont (photos à venir) et le jardin botanique. Quelques détours à travers les rues et retour à l'auberge où je suis tombé comme une m.... (bah oui j'ai du dormir 4h à tout casser dans l'avion!) Je me suis quand même relevé pour aller manger... et écrire un peut sur le blog.
Pour les premières impression je trouve que Sydney à l'air assez agréable comme ville et les gens sont accueillants, quand tu dit bonjour ils te demandent toujours comment çà va?. En tous cas c'est un peut comme à Paris il y a un pleins de nationalités différentes (j'entends parler français partout!!!)
En tous cas l'immersion dans la langue anglaise a commencé fort et il y a du boulot!!!
On peut dire que cette première journée a été plutôt bien occupée donc maintenant direction dodo.
Cheers!
Bien arrive
Apres 24h de vol et un arret express a Pekin me voila arrive a Sydney. Premiere etape du periple. La premiere chose a ete de me rendre a l'auberge de jeunesse histoire de prendre une petite douche et de poser les bagages. En ce moment je m'occupe des details administratifs. A priori je vais rester toute la semaine sur Sydney le temps que je recupere ma CB, ca tombe bien, y'a pleins de trucs a faire ici et a premiere vue la ville est super jolie... Un peut de patience pour les photos, ca va venir...
(au fait desole pour les fautes d'orthographe mais j'ai pas compris coment faire les accents avec leurs claviers en QWERTY!!!!)
See you later
(au fait desole pour les fautes d'orthographe mais j'ai pas compris coment faire les accents avec leurs claviers en QWERTY!!!!)
See you later
mardi 5 janvier 2010
Et c'est parti!!!
Bon bah on y est...
Lundi 4 Décembre 2010, aéroport de Roissy Charles de Gaulle il est 20h05 et l'avion n'est pas encore là!! 3h de retard annoncé. Bon y'a rien de grave, après tout j'ai le temps, j'ai rien ni personne qui m'attende. C'est d'ailleurs étrange comme sentiment. Ca doit être çà le sentiment de liberté... Et ben on n'est pas habitué... Ca fait bizarre. Mais bon, je pense qu'on y prend goût.
Derniers aux revoirs et derniers coups de fils...
Prochain message en direct de Sydney...
Lundi 4 Décembre 2010, aéroport de Roissy Charles de Gaulle il est 20h05 et l'avion n'est pas encore là!! 3h de retard annoncé. Bon y'a rien de grave, après tout j'ai le temps, j'ai rien ni personne qui m'attende. C'est d'ailleurs étrange comme sentiment. Ca doit être çà le sentiment de liberté... Et ben on n'est pas habitué... Ca fait bizarre. Mais bon, je pense qu'on y prend goût.
Derniers aux revoirs et derniers coups de fils...
Prochain message en direct de Sydney...
dimanche 3 janvier 2010
Ma vie dans un sac!
Tout est dit dans le titre... Voilà à quoi se réduisent mes affaires pour l'année qui vient! Bonne nouvelle : j'ai encore de la place dans le sac, je vais pouvoir rapporter pleins de souvenirs!!
Dur, dur...
Difficile de partir quand on a un proche qui se bat contre la maladie et qui tient le coup en partie grâce au soutient de sa famille et de ses amis. Ce n’est pas un sentiment de culpabilité car force est de constater son impuissance face aux évènements. Ce qui est dur, c’est de se dire que l’on va être le maillon «physiquement absent » dans la chaîne de soutient même si bien sûr, même à l’autre bout du monde, j’aurais toujours une pensée pour ceux qui restent et qui luttent. Alors Isa : « bat toi, on a encore quelques plongées à faire ensembles » et pour tout ceux qui la soutienne : « Courage et bravo ».
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